• Eklabugs #52 - Libéré ?

    Salut tout le monde !

     

    Je profite d’un petit moment de liberté pour vous écrire un article dans le cadre de la 52ème session des eklabugs sur le thème de… la liberté (vous ne vous en doutiez pas vrai .)À l’instar d’une reine que vous connaissez, Je vous chanterez bien un petit “libérée, délivrée” mais je crois que ma vie risquerait d’être rapidement raccourcie. Du coup, je vais rester soft et rester sur un simple article.

    Bon d’abord la liberté c’est quoi . Si vous cherchez sur le net vous avez l’embarras du choix sur les définitions ! Prenons le Larousse, il ne décompte pas moins de 14 définitions pour ce mot. Autant vous dire qu’on est vraiment noyés sous l’information… Si on devait choisir une définition qui fonctionnerait pour la majorité de situation je dirais que c’est : “État de quelqu’un, d’un animal qui n’est pas soumis à un maître, prisonnier”.Mais du coup est-ce qu’on peut dire que nous on est libres ? Personnellement je me suis souvent posé la question ! On aurait pu croire que j’aurais eu un élément de réponse en cours de philo mais… avec deux mois de cours on ne va pas bien loin. Du coup je crois que mon article va s’apparenter un peu à de la philo ( désolé d’avance).

    Vous pensez qu’on est libre vous . Est-ce que vous pensez par exemple qu’aller au boulot est ne pas être libre. Parce que techniquement vous y allez parce que vous “n’avez pas le choix” mais finalement c’est faux. Si vous allez au boulot c’est parce que vous aimez ça ou alors simplement par besoin pécuniaire. Du coup c’est votre liberté : vous pouvez ne pas y aller mais vous ne toucherez plus d’argent : c’est VOTRE choix. En soi c’est une liberté : vous pouvez choisir d’y aller ou non. Le truc c’est qu’on prend souvent ça pour une obligation : il me semble que c’est quand même sacrément difficile d’avoir un toit au-dessus de la tête sans argent. Donc c’est notre liberté mais avec la logique qu’on a on considère ce choix comme n’était pas vraiment libre.

    Une autre réflexion que je me suis faite concerne une expression cette fois-ci : “La liberté des uns s’arrête là où commence celle des autres.”. Je me suis pas encore fait une opinion donc je vous demanderai simplement : Vous en pensez quoi vous ?

     

    J’espère que vous ne trouverez pas mon article trop brouillon. Je vais maintenant repartir travailler sur mes cours et pourquoi pas un article ou deux au passage ? Et promis cette fois j’essaye de trouver du temps pour lire les autres articles de la session ! D’ailleurs si vous voulez les voir les liens sont juste en dessous. Allez y faire un tour !

    Eyael_ :
    Projet Eklabugs : Les chaînes invisibles de la liberté

    Nyeh :
    EklaBugs #52 - Freedom

    Mrs Swadloon :
    Eklabugs - Ma liberté de penser

    Pipiou :
    Eklabugs#52 : La liberté↗

    louna.déelle :
    Eklabugs - La liberté

    Ryuu-chan :
    Eklabugs - Liberthé

    Mimi

     

    P.S : Juste pour le plaisir... ou non !

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  • Commentaires

    1
    Samedi 30 Novembre 2019 à 12:50

    J'avoue que vu le thème je suis surprise du nombre étonnamment faible de blagues sur la Reine des Neiges, merci d'y avoir remédié :D

    (Sinon plus sérieusement, je trouve ta réflexion plutôt intéressante, t'as bien raison !)

    2
    Samedi 30 Novembre 2019 à 13:01

    Hey !

    Je suis plutôt d'accord avec toi, personnellement je pense pour la phrase "la liberté s'arrête là où celle des autres commence" est que nous pouvons être libre dans le respect, sans blesser les autres, être diplomate ou tout simplement choisir de ne pas parler d'un sujet avec une personne pour ne pas faire de mal entendu ou la blesser.

    3
    Samedi 30 Novembre 2019 à 16:31

    Je m’étais juré de faire la blague si tu ne la faisait pas ! 
    Cela dit, vu la nécessité de l’argent dans notre société, je ne pense pas que l’ont puisse faire ce type de choix de manière libre : ok, on est libres de mourir, mais ce n’est pas très joyeux...

    4
    Samedi 30 Novembre 2019 à 16:36

    Je ne suis pas vraiment d'accord avec toi sur le fond. Aller au boulot c'est un choix sinon pas de sale air. C'est juste un choix conditionné. La liberté conditionnelle. C'est comme pour l'amour. Beaucoup soumis à condition. Y a qu'à voir tout ce qu'on fait pour être aimé, accepté. Cela me fait penser à cette scène de la Belle Verte (film culte de Coline Serreau) où elle demande à quoi sert le rouge à lèvres qu'elle a dans son sac. La femme lui répond que c'est pour plaire, pour être sexy, pour qu'on vous aime. Alors elle demande : « Alors si vous ne mettez pas de rouge à lèvres, on ne vous aime pas ? » Après elle voit des photos dans le sac de la femme. Elle lui demande : « Et ça, ce sont les gens que vous aimez ? Pourquoi ils ne portent pas de rouge à lèvres ? ». C'est un peu ça l'idée.

    5
    Mardi 3 Décembre 2019 à 17:07

    Finalement elle est p'têt là la source de la liberté : c'est le choix. Perso je pense qu'on a toujours le choix. (celui de croire ou pas, celui d'adhérer à, de s’accommoder  de, de faire avec, de batailler pour, de batailler contre, de rechercher à, etc. etc.)  c'est des choix, et tel ou tel choix influe sur telle ou telle suite.

    “La liberté des uns s’arrête là où commence celle des autres.”  Ça m'a fait penser à l'article de Eyael_  Pour moi elle  (la liberté, pas Eyael_ ;) "ne s'arrête pas" vraiment quand une autre commence, mais elle jongle (elle s’accommode ?)  avec la liberté d'en face.  Sûrement une question de compromis... (et de respect bien entendu) mais y'a des compromis qui valent pas le coup, vaut mieux garder sa liberté ;)

    (ce qui n'est absolument pas valable pour les casseurs qui détruisent boutiques et bagnoles pendant les manifs... ça c'est pas du tout une question de liberté :(   La liberté ça se gagne, mais pas à n'importe quel prix, et surtout pas sur le dos des autres !)

    Bonne fin d'aprèm

     

    6
    Jeudi 5 Décembre 2019 à 10:54

    Ta chanson foireuse, tu la prends et tu vas te la mettre là où je pense *se prend une brique*

    On se pose toujours de nombreuses questions sur la liberté. Mais elle est intrinsèque au lieu et à sa culture. Et très dépendante de notre perception du monde. On peut très bien se dire qu'on est libre, alors que d'autre vont penser qu'on est prisonnier de telle ou telle chose ...

    Et hélas (trois fois hélas), nous n’aurons jamais de véritables réponses à ces questions ...

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